Le mot qui se transforme

Attisées par la chaleur de mes mains, les tartines seront attirées vers tes lèvres qui ne feront pas seulement fondre le beurre en rebouchant les trous...

Attirées par les lèvres ? L'estomac oui...si tu me prépares en plus le petit déj. tu pourrais devenir indispensable

Si une douce chaleur ne te suffisait pas à te réveiller, alors la batterie reste un moyen sûr de te lever... la douceur en moins.

Moi qui t'avais attribué des éloges...une batterie pour mes petites oreilles , en douceur le réveil....rien d'autre...l

Les oreilles peuvent être abruties pas les bruits sourds de la batterie, mais par la douceur tout s'arrange.

Toutes douceurs peuvent être prises avec un degré différent, en fonction de la réception, du bruitage...style agrafeuse, si tu vois ce que je veux dire....

Je te donnerai une sérénade jusqu'à ce que mes doigts ne puissent plus caresser les cordes des guitares...

Si tu ne chantes pas en même temps ! Les vitrages ne tiendraient pas le coup...
je devine ta pensée : je casse encore le romantisme ....(fallait bien le placer le "vitrages" !)

Tu es aussi givrante que le froid qui s'est installé dans le nord, je prendrais le temps que tu dégèles... le romantique peut attendre...

Il faut être patient pour le dégel...Les saisons ingrates ne servent pas l'homme...même s'il est impatient de récolter ses fruits...

Les audaces et la patience permettent de couronner le succés de la récolte des fruits. Celle de la passion domine les coeurs des plus grisants.

Agissant ainsi, tout vient à point à qui peut attendre....
Je ne parle pas de la pluie ou du beau temps...

Surtout pas le temps du nord qui rend le chemin glissant comme celui que l'on emprunte parfois...

Même si les chemins sont luisants, ils ne reflètent pas l'état de la route...En effet, tout est glissant avec toi... Oh, ça oui !

J'aime quand ça glisse... les froids cuisants de la saison nous amènent à pratiquer certains exercices pour nous réchauffer alors que je préfère la chaleur...

Puissant est le réconfort, pardon confort... intérieur, je te savais copain avec les dérapages, temps de glisse ou autres....tu déteins...

Le temps de réconfort que je donne n'est jamais épuisant... Au delà de la puissance de mes dérapages qui eux ne sont pas toujours contrôlés...

Pas très bon patineur, alors ! Je peux t'apprendre à maîtriser les virages mais les dérapages ....c'est moi qui devrais te réconforter après certaines chutes ....

Après la chute ton réconfort m'est donné plutôt par pitié, mon esprit puritain préfère celui qui est donné par le coeur.

Les petits plaisirs sont comme ceux de courir dans les pâturins, un coup de balançoire...
lors d' un petit incident...je soigne aussi par sentiment pas seulement par compassion....

Tu es le contraire des bêtes taurines qui baissent la tête et foncent, tes petits plaisirs sont sans réel danger.

Foncer...peut-être, si des intruses telles les abeilles me font détaler sans regarder où je mets les pieds..je pourrais même te heurter sans te reconnaître....

Si un animal féroce s'était incrusté dans mon périmètre, je prendrais moi aussi les jambes à mon cou...

Un chat ! Un animal féroce ! je te retiendrais par la ceinture pour que tu puisses faire connaissance...

Tu me le changes en tigrou le chat docile... je cours vite vers les citernes et saute dedans peu importe le contenu.