MER

Kikou

voici un nouvel exercice ici, vous pouvez faire les rythmes, rimes, que vous souhaitez aucun mot imposé seul la forme de poème est demandée et le thème
et pour ce sujet ce sera la ...

Je me lance...

Douces sont les vagues déferlantes sur le sable
Ce matin pas grand monde dans ce coin de paradis
Cette tranquillité me fait rêver et je m’évade
Dans un pays où tout le monde sourit.

Le soleil vient éclairer mon visage pensant
Et dans mes rêves tout devient dansant
Regarder la mer se retirer petit à petit
Emmènant avec elle mes petits soucis.

J’ai toujours su que la mer était une délivrance
J’ai passé à cet endroit ma plus tendre enfance
Maintenant même si la distance m’en éloigne
Dans mon cœur mes souvenirs en témoignent.

Elle sera toujours pour moi comme une seconde mère
Quelque chose qui me chuchote à l’oreille qu’elles sont éphémères
Que mes mauvaises pensées finiront bien par s’effacer
Tant que dans mon cœur, elle restera gravée.

très beau texte Zoreye !
exercice réussi félicitations

juste une petite chose si je puis me permettre
fin de la seconde strophe j'aurai mis "qui emmène" ou "emmenant"
qu'en dis-tu ?

en tout cas bravo !

Merci Aliana, rectification faite, je n'avais pas vu cette erreur, et ma complice qui m'a donné son avis non plus mdr (je vais finir par me faire frapper).

Merci pour tes compliments.

Des lames gigantesques
Ecumant et bavant
Telles des arabesques
Déferlent en rugissant

A l 'assaut de nos côtes
S'en vont rugissant
Les rives démantelant
Le granit arrachant

Barques se détachant
Au gré du flot roulant
Craquent , se démantèlent
Lamentablement

En souffle coléreux
Frappe dédaigneux
L'océan est furieux
Mon dieu ! . . .

Toutes les richesses sont en elle,
Comme une mère nous prenant sous son aile.
Elle est belle et mystérieuse,
Comme une mère tendre et rieuse.
Elle est fraîche et enveloppante,
Comme une mère adorante.
Parsemée d'or des gallions,
Comme une mère de ses chansons.
Elle est vaste et danse,
Comme une mère à l'amour immense.
Elle est mer comme une mère,
Et nos mères comme la mer...

Quand je vois au loin cette belle mer,
Cela me fait penser à ma mère.
Quand nous dansions sur cette belle plage doré,
Le coeur rempli de gaité.
Courant les cheveux dans le vent,
Sur cet air de musique envoutant.
PAN ! Ce bruit, je l'ai toujours à l'oreille,
Ma nuit n'est plus merveille,
Depuis ce jour où elle m'a quitté.
Le soir où cet homme l'a tué.

SISSLA a écrit:

Des lames gigantesques
Ecumant et bavant
Telles des arabesques
Déferlent en rugissant

A l 'assaut de nos côtes
S'en vont rugissant
Les rives démantelant
Le granit arrachant

Barques se détachant
Au gré du flot roulant
Craquent , se démantèlent
Lamentablement

En souffle coléreux
Frappe dédaigneux
L'océan est furieux
Mon dieu ! . . .

désolée Sissla mais une lame c'est féminin et les licences poétiques ne peuvent pas tout faire passer...
donc écumantes et bavantes serait plus juste mais du coup ça rime plus...
bon faut dire côte et rugissant non plus ça rime pas
maintenant on est pas obligé de faire des rimes dans tous les poèmes mais faut que ce soit équilibrées donc soit on en fait soit on en fait pas, mais à moitié, c'est moyen

par contre côté thème c'est très bien et ton poème est très beau alors accroches toi

vivijeanjean a écrit:

LA MER

Allongés sur le sable, l’eau me chatouille,
Les vagues avancent et me mouillent !
Peur de cet océan qui vous emmène,
Sans que rien, ne nous prévienne.

Océan de malheur,
Pourquoi ne pas faire mon bonheur.
Moi, tu sais que j’ai peur,
Alors pourquoi ne faire que la terreur.

Un jour, il faut que je t’affronte,
Car aujourd’hui, seuls mes enfants comptent.
Et pour cela, il faut qu’ils nagent !
C’est important à leur âge !

Océan de malheur,
Pourquoi ne pas faire mon bonheur.
Moi, tu sais que j’ai peur,
Alors pourquoi ne faire que la terreur.

Pour cela, il est indispensable que je m’attaque,
A ma première rivale,
Celle qui fait des flaques, celle que je déteste,
Tellement elle me stress.

Océan de malheur,
Pourquoi ne pas faire mon bonheur.
Moi, tu sais que j’ai peur,
Alors pourquoi ne faire que la terreur.

Cette rivale, c’est l’eau bien sûr !
Une peur enfin je vous l’assure.

tout comme Sissla exercice sur le thème réussi mais côté rimes y'a encore du travail

et puis "Alors pourquoi ne faire que la terreur." c'est assez lourd essaie plutôt "Pourquoi n'être que terreur" mais encore une fois c'est juste mon avis..

Nataly a écrit:

Toutes les richesses sont en elle,
Comme une mère nous prenant sous son aile.
Elle est belle et mystérieuse,
Comme une mère tendre et rieuse.
Elle est fraîche et enveloppante,
Comme une mère adorante.
Parsemée d'or des gallions,
Comme une mère de ses chansons.
Elle est vaste et danse,
Comme une mère à l'amour immense.
Elle est mer comme une mère,
Et nos mères comme la mer...

encore une fois....
j'adore ta façon d'écrire

Océane a écrit:

Quand je vois au loin cette belle mer,
Cela me fait penser à ma mère.
Quand nous dansions sur cette belle plage doré,
Le coeur rempli de gaité.
Courant les cheveux dans le vent,
Sur cet air de musique envoutant.
PAN ! Ce bruit, je l'ai toujours à l'oreille,
Ma nuit n'est plus merveille,
Depuis ce jour où elle m'a quitté.
Le soir où cet homme l'a tué.

Exercice réussi, bravo mais dommage que la fin soit si triste

Vivi ! très bon !